L’accouchement, c’est le grand saut vers l’inconnu, surtout quand c’est le premier ! Ça peut faire peur et parfois même on préférerait pouvoir l'éviter ! Il faut dire que les séries, les films, la société en général ne véhiculent pas une image de l’accouchement très positive et c’est bien dommage.
Dans ce contexte, les femmes sont tentées de “faire l’autruche” et de se dire “on verra bien sur le moment, de toute façon, il faudra bien qu’il sorte”. C’est dommage, car préparer son accouchement de façon optimale va permettre d’augmenter les chances d’avoir un bel accouchement. Et un bel accouchement c’est avant tout un accouchement qui est bien vécu, qui laisse un beau souvenir.
Nombreuses sont les femmes (1 sur 3) qui hélas, vivent un Syndrome Post Traumatique à la suite de leur accouchement, et cela va impacter directement le vécu du post-partum. Les études sur le sujet ont montré que le sentiment de perte de contrôle, d’impuissance, la sensation de ne rien “maîtriser” est en lien direct avec un vécu traumatique de la naissance.
C’est pourquoi se préparer activement à son accouchement est essentiel et représente même une nécessité car en se préparant (physiquement et mentalement) les femmes vont alors mieux comprendre les étapes de la physiologie de la naissance, elles vont gagner en confiance en elles et en leur corps, elles vont pouvoir agir en amont et le jour J pour renforcer les capacités de leurs corps.
Bref, elles vont devenir actrices de leur préparation et, in fine, seront davantage actrices au moment de l’accouchement.
Le savoir c’est le pouvoir, la préparation, c’est la clé !
SE PRÉPARER TOUT AU LONG DE LA GROSSESSE ET MÊME AVANT
On me demande souvent quel est le meilleur moment pour préparer son accouchement, et on pense que l’idéal est de le faire au cours du dernier trimestre de grossesse.
Il faut bien comprendre que l’accouchement se prépare en fait tout au long de la grossesse. À partir du moment où la grossesse commence (et même avant !), tout ce qu’une femme va pouvoir faire pour le bien-être de la grossesse va avoir un impact positif sur l’accouchement.
On pourrait comparer cela à des effets ricochets depuis la préconception jusqu’au post-partum : le travail de terrain fait en préconception va permettre une belle grossesse, une belle grossesse va permettre un bel accouchement et un bel accouchement va améliorer le vécu du post-partum !
Il y a donc un vrai “travail de fond” à faire sur l’hygiène de vie avant, pendant la grossesse avec les piliers importants que sont : l’alimentation, la nutrition et la micronutrition, le mouvement, la gestion du stress, l’environnement.
ZOOM SUR LA MICRONUTRITION
Les études épidémiologiques ont mis en évidence que même en suivant à la lettre un régime alimentaire optimisé pour la grossesse, les femmes enceintes ne couvrent pas leurs besoins nutritionnels, ce qui implique qu’une supplémentation de qualité (dosages et formes des micronutriments) est indispensable.
Les déficits qui reviennent très souvent concernent la vitamine A, l’iode, la vitamine D, le fer, le magnésium, le zinc, les oméga-3, les vitamines du groupe B.
Il y a un lien étroit entre l’accouchement et la micronutrition : d’ailleurs, une étude de l’université de Southampton publiée en 2023 a mis en évidence qu’une supplémentation optimale en vitamine D pendant la grossesse a une influence sur le déroulement de l’accouchement avec comme impact plus de naissances spontanées, par voie basse, et de naissances physiologiques dans le groupe de femmes supplémentées. C’est d’ailleurs plutôt logique car en nourrissant bien son corps et ses cellules, on améliore leurs fonctionnements et ainsi le déroulement de l’accouchement qui nécessite de nombreuses ressources physiologiques.
PRÉPARER SON CORPS
C’est encore quelque chose qui est trop peu abordé, car souvent, on pense à tort que le processus de l'accouchement est indépendant de nous,
qu’on ne peut pas y faire grand-chose. Et c’est là que je trouve qu’il est essentiel de redonner un sentiment de “maîtrise” aux femmes : certes on ne peut pas tout contrôler (et ce n’est pas le but car la naissance nécessite une bonne dose de lâcher prise) - mais les femmes peuvent vraiment avoir un impact positif sur le déroulement de la naissance !
D’ailleurs, on compare souvent l'accouchement à un marathon. Est-ce qu’on irait à un marathon sans préparation physique au préalable ?
Se préparer comme pour un marathon ?
Les marathoniens le savent, leur performance le jour J est dépendante de tout ce travail de préparation qui précède la course : des mois d’entraînements, d’hygiène de vie, de préparation physique et mentale.
Il en va de même pour un accouchement. Préparer son corps c’est miser sur lui, lui apporter du soutien afin de lui permettre d’avoir davantage de ressources disponibles pour le jour J.
Importance du mouvement
Rester en forme pendant la grossesse passe par la mise en mouvement du corps. Il est tout à fait possible et même recommandé de pratiquer une activité physique adaptée (marche rapide, yoga, pilates, fitness, natation…) tout au long de la grossesse.
En plus de permettre la prévention de nombreux maux de grossesse (constipation, jambes lourdes hémorroïdes, diabète gestationnel, hypertension), les études montrent que les femmes “sportives” (on ne parle pas de sport de haut niveau) ont des accouchements plus “faciles” : travail plus rapide, moins de complications, moins de recours à la péridurale.
De plus, le mouvement de la maman va aider son bébé à bien se positionner en vue de la naissance. En effet, une maman très sédentaire, qui est souvent assise avec le dos qui repose contre un dossier de chaise aura plus de risque d’avoir un bébé en position postérieure (le dos de bébé est contre le dos de la maman).
Lorsque le bébé est en “postérieure”, les accouchements sont généralement plus longs et plus douloureux pour les mamans car elles peuvent ressentir les contractions “dans le dos”.
Arriver en forme le jour J : se reminéraliser en vue de la naissance
Comme vu précédemment, il est essentiel d’apporter les minéraux et vitamines pour soutenir le corps d’une femme enceinte et le bon développement de son bébé. Une supplémentation adéquate, personnalisée en fonction des besoins est essentielle. Pour cela, je conseille de réaliser des dosages biologiques (a minima iodurie urinaire, ferritine, vitamine D, vitamine A, vitamine B9, B12, à ajuster en fonction des habitudes alimentaires) afin d’assurer une supplémentation au plus près des besoins.
Attention, les normes des laboratoires ne correspondent pas aux normes “santé” par exemple, pour la vitamine D, il est préférable de viser 60 à 70 ng/l pour bénéficier de ses effets bénéfiques et préventifs pour la grossesse et l'accouchement (souvent les laboratoires considèrent un taux au-dessus de 30 comme optimal).
Par ailleurs, il est très intéressant d’apporter un soutien supplémentaire à l’organisme très sollicité de la maman et cela peut passer par la prise de plasma marin.
En effet, le plasma marin est riche en minéraux et oligo-éléments qui vont permettre à la maman de lutter contre la fatigue de la fin de grossesse tout en préparant efficacement son corps (et bébé !) pour l’accouchement !
Des remèdes naturels efficaces
Nous avons aussi la chance de pouvoir exploiter les bienfaits des plantes et autres remèdes naturels pour préparer le corps de la femme à l’accouchement.
Les feuilles de framboisier
L’infusion de feuilles de framboisier est maintenant bien connue des sages-femmes pour ses vertus sur l’accouchement. Mais les femmes sont souvent perdues et ne savent pas ce qu’elles peuvent vraiment en attendre.
Certaines (petites) études ont montré qu’elle est efficace pour :
> Éviter les retards de terme
> Réduire le risque de naissance prématurée (cela peut sembler contradictoire mais les plantes ont souvent une action régulatrice, d’ailleurs aux USA, les infusions de feuilles de framboisiers sont utilisées dès le début de la grossesse quand il y a un utérus contractile notamment)
> Contractions plus efficaces le jour J
> Seconde phase de l’accouchement plus courte (expulsion) moindre recours aux interventions médicales : forceps, ventouses, césarienne, épisiotomie.
Il est aussi possible, en toute fin de grossesse, de prendre le framboisier en gemmothérapie (à des dosages adaptés pour la grossesse).
Les dattes
Autres remèdes naturels connus des sages-femmes du moyen orient : les Dattes !
Consommer 5 dattes (medjools) par jour dans le dernier mois de la grossesse permettrait de :
> Réduire la durée de la première phase du travail
> Faciliter la maturation du col
> Éviter le recours aux interventions médicales et notamment à l’ocytocine de synthèse
L’huile d’onagre
L’huile d’onagre est un vrai trésor pour la vie de la femme : il présente beaucoup de bienfaits pour l’harmonisation du cycle menstruel, pour soulager les douleurs pendant les règles, pour la fertilité, la ménopause…
Un de ses rôles moins connus mais tout aussi intéressant concerne l’accouchement ! En effet, son utilisation par voie vaginale les semaines qui précèdent l’accouchement permet d’aider la maturation du col de l’utérus grâce à la présence des prostaglandines contenu dans l’onagre. D’ailleurs, en maternité, on utilise aussi des prostaglandines de synthèse (sous forme de tampon) lorsqu’un déclenchement est nécessaire.
Intérêts des probiotiques
Faire des cures de probiotiques tout au long de la grossesse est très intéressant mais ça l’est encore plus en fin de grossesse en vue de l’accouchement car cela va permettre une colonisation bactérienne de la maman (intestins, muqueuse vaginale) qui va transmettre ces bonnes bactéries à son bébé lors de son passage dans le canal vaginal.
Si les probiotiques peuvent avoir des bienfaits, il faut tout de même veiller à apporter suffisamment de fibres dans l’alimentation car elles constituent la nourriture des bonnes bactéries et aideront in fine, à leur prolifération.
Le massage du périnée
Je recommande aussi systématiquement la pratique du massage du périnée.
Masser son périnée n’est pas des plus agréables mais c’est très efficace pour prévenir le risque de déchirures. Et les études ont montré que cette pratique permet de réduire le risque de déchirures sévères (de grade 3 et 4).
Masser son périnée présente un double intérêt :
> Assouplir les tissus et augmenter leur élasticité en vue du passage de bébé,
> Mieux appréhender cette partie de son anatomie et ainsi mieux savoir “l’utiliser” le jour de l’accouchement. Car oui, savoir bien contracter et bien relâcher son périnée est une aide précieuse pour la dernière phase de la naissance : la poussée.
Le massage du périnée se pratique 3 à 4 fois par semaine à partir de la semaine 34 de la grossesse.
PRÉPARER SON MENTAL
Le mental est mis à rude épreuve pendant un accouchement. Si on reprend notre analogie avec le marathon, le marathonien sait bien que la
préparation physique constitue un socle essentiel mais que le jour J, c’est bien le mental qui fera la différence.
Un accouchement, tout comme un marathon, c’est long (surtout lorsqu’il s’agit de premiers accouchements), la préparation mentale est donc une clé importante de ce processus et ce, qu’une femme souhaite un accouchement médicalisé (péridurale) ou physiologique.
En effet, même lorsque la maman souhaite une péridurale, cette dernière ne peut pas être posée dès le début du travail, on attend généralement que le travail soit suffisamment “actif” et que la maman soit déjà à 4 cm environ de dilatation (cela peut varier en fonction des maternités).
Or la première phase (latente) est souvent la plus longue, il est donc important d’avoir à sa disposition des ressources pour mieux vivre cette attente de la péridurale.
Gérer son stress / ses peurs
L’une des choses essentielles à faire en préparation, c’est d’identifier et de travailler sur ses peurs. Il est normal d’avoir des appréhensions mais la peur et le stress le jour J perturbe le bon fonctionnement hormonal nécessaire pour l’accouchement.
En effet, c’est la sécrétion de l’hormone ocytocine qui permet la mise en route des contractions. Et la sécrétion d’ocytocine nécessite un sentiment de sécurité, de confiance, d’amour. Or, lorsque la maman est stressée, angoissée, elle sécrète des catécholamines (hormones du stress) qui sont antagonistes à l’ocytocine.
Ainsi, le cycle hormonal de l’accouchement se retrouve perturbé et les contractions peuvent devenir moins efficaces, voire s’arrêter, ce qui conduit à davantage de risques d’interventions médicales.
PEUR = ADRÉNALINE = MANQUE D’OCYTOCINE ET D’ENDORPHINE = NAISSANCE PLUS LONGUE, DOULEUR RESSENTIE PLUS IMPORTANTE
Comment travailler sur ses peurs ?
Travailler sur ses peurs en vue de l’accouchement passe essentiellement par la connaissance. Mieux comprendre le processus de l’accouchement, connaître la physiologie, permet déjà à la maman de s’approprier son accouchement et de gagner en sérénité.
En complément, l’hypnose prénatale est un excellent moyen de déconstruire ses peurs, de modifier ses croyances au sujet de l’accouchement et de se réapproprier la naissance.
Le terme “hypnose” peut faire peur mais l’hypnose prénatale s’apparente à des scénarios de relaxation profonde incluant des “suggestions” qui permettent à la maman de transformer sa vision de l’accouchement, à mesure qu’elle le pratique.
Il s’agit d’un outil puissant qui permet à la maman de :
- Travailler sur ses peurs
- Créer un “lieu ressource” avant l’accouchement pour pouvoir s’y replonger dès que nécessaire le jour J
- Transformer sa vision de la naissance
- Mieux appréhender et gérer la douleur le jour J
- Favoriser le déclenchement naturel de l’accouchement (et éviter un déclenchement médical)
Retrouver un équilibre nerveux
Encore une fois, tout au long de la grossesse, la maman peut mettre en place des habitudes qui vont lui permettre d’apaiser son système nerveux, d’apprendre à gérer son stress.
Ces habitudes sont tout autant bénéfiques pour la grossesse que pour l’accouchement !
La maman pourra alors “piocher” dans ce qui lui plaît le plus : respiration, fleurs de Bach, plantes, yoga, hypnose.
Un outil que je conseille souvent car très facile à mettre en place : les affirmations positives.
En micronutrition, le magnésium (Bisglycinate dosé à au moins 300 mg / jour - Magtorine®) sera un essentiel pour permettre à la maman de maintenir un équilibre nerveux tout en soulageant les éventuelles crampes, douleurs ligamentaires.
ZOOM SUR LE SOMMEIL
Le sommeil est mis à rude épreuve pendant la grossesse. Et bien que cela soit tout à fait physiologique dans une certaine mesure car le corps de maman se prépare doucement à l’arrivée de son bébé, il ne faut pas non plus que la maman arrive complètement épuisée pour son accouchement.
En effet, le manque de sommeil va impacter négativement le système nerveux de la maman mais en plus, et comme nous l’avons vu précédemment, elle a besoin d’être en forme pour faire ce merveilleux mais très intense travail qu'est l’accouchement.
Pour retrouver un sommeil plus serein, j’aime beaucoup proposer des fleurs de Bach. Elles sont à adapter en fonction des émotions ressenties, mais celles qui reviennent souvent sont :
- White chestnut : pour les mamans qui ont un petit vélo dans la tête qui ne s’arrête plus, quand les pensées tournent en boucle.
- Mimulus : lorsque le manque de sommeil est lié à la peur de l’accouchement ou à une autre peur identifié.
- Vervain : lorsque la maman est surexcitée, qu’il y a un trop-plein d’enthousiasme qui l’empêche de s’apaiser.
Du côté des plantes, j’aime beaucoup la camomille matricaire et la passiflore. Deux plantes compatibles avec la grossesse qui sont calmantes et apaisantes. On les utilisera en infusion.
En gemmothérapie, on peut se tourner vers le figuier et le tilleul, qui sont tous les deux très efficaces pour apaiser le système nerveux. Je choisis le figuier lorsqu’il y a un reflux associé et le tilleul lorsque le stress de la maman entraîne des crispations physiques (mâchoire, cervicales, épaules).
UN TRAVAIL PLUS EFFICACE LE JOUR J
L’importance du projet de naissance
Le jour J, il est essentiel d’avoir en amont préparé, visualisé la naissance.
Et pour cela, je trouve que le projet de naissance est un outil indispensable !
Le véritable intérêt du projet de naissance c’est d'aider la maman à se préparer et à savoir ce dont elle aura besoin le jour J.
Prendre le temps de faire cet exercice avec le futur papa permet au couple de mieux se projeter et de se sentir davantage en confiance.
Le père apprécie généralement cet exercice qui lui permet de se sentir déjà impliqué dans ce processus et de savoir comment il pourra concrètement aider sa compagne le jour J.
La magie de la respiration
Une des techniques les plus efficaces pour gérer le travail, la douleur, c’est la respiration. Il existe plusieurs types de respirations pour accompagner le travail et la maman pourra choisir celles avec lesquelles elle se sent le plus à l’aise le jour de l’accouchement.
Mais il est essentiel de pratiquer ces respirations en amont de l’accouchement pour être bien à l’aise avec les différentes techniques et ne pas avoir besoin de se demander comment les pratiquer (auquel cas l’efficacité ne sera pas au rendez-vous).
Le fait de les pratiquer avant la naissance permet en plus d’apaiser le système nerveux de la maman, de l’aider à mieux dormir, de gagner en confiance.
Les huiles essentielles
Pour le jour J, deux huiles essentielles seront à l’honneur : la palmarosa et le giroflier.
Ces deux huiles sont utérotoniques, donc à proscrire tout au long de la grossesse. On les utilise uniquement le jour de la naissance, diluées dans de l’huile végétale.
La palmarosa permet des contractions plus efficaces. Le giroflier, de son nom latin : Eugenia Caryophyllus, fait référence à Eugénie, patronne des sages-femmes, ce qui en dit long sur son intérêt pour l'accouchement.
Il permet d’améliorer l'efficacité des contractions mais aussi de soulager la douleur de par ses vertus analgésiques.
Côté émotionnel, j’aime particulièrement le laurier noble en olfaction qui est très intéressant sur le plan énergétique car il amène courage et sentiment de puissance à la maman qui accouche.
Cette dernière pourra aussi, toujours en olfaction, respirer un flacon de lavande vraie ou de camomille romaine en fonction de ce qu’elle aime.
Respirer ces huiles essentielles en pratiquant les différentes respirations permettra de renforcer l’efficacité sur le système nerveux.
Plus la maman est zen et relaxée, et plus l’accouchement et son processus hormonal sont facilités.
CONCLUSION
La préparation pour l’accouchement est un vaste sujet (dont je pourrai parler pendant des heures) qui est encore trop peu approfondi, notamment sur le plan de la préparation physique de la maman.
C’est là que la naturopathie, la santé fonctionnelle, a vraiment un rôle immense à jouer auprès des femmes.
Nous l’avons vu, permettre à la maman de vivre un bel accouchement, c’est lui permettre de mieux vivre la période sensible du post-partum et de mieux appréhender son nouveau rôle de mère.
Grâce à toutes ces étapes de préparation, les femmes peuvent accéder à des accouchements plus doux, dont elles vont se remettre avec davantage de facilité sur le plan physique et mental.
Surtout, cette préparation globale permet de redonner un sentiment de “maîtrise” à la maman (qui nous l’avons vu est essentiel pour éviter tout vécu traumatique).
Bien évidemment, il y a encore d’autres choses à mettre en place, et notamment l’homéopathie qui est très intéressante pour l’accouchement. L’idée de cet article est de donner une vue d’ensemble des magnifiques outils dont on dispose pour aider les mamans
Alexia KRIEF Fondatrice du programme en ligne d’accompagnement à la naissance : BIRTH POWER Auteure du livre "Rituels de Grossesse", aux éditions Solar. Psychologue de formation, praticienne Naturopathe, formée à l’hypnose prénatale ainsi qu’à la biologie fonctionnelle et nutritionnelle, Alexia accompagne les mamans en préconception, pendant leurs grossesses et après. Instagram : @mamanaturaa |