LES LABORATOIRES COPMED DURABLEMENT ENGAGÉS DANS UNE DÉMARCHE ECO-RESPONSABLE
Focalisée sur la qualité intrinsèque de ses produits – d’origine naturelle ou certifies bio – l’industrie du complément alimentaire a occulté l’impact environnemental de ses emballages. Or l’esprit et la lettre du développement durable accordent autant d’importance à l’impact écologique du contenu qu’à celui du contenant.
Aujourd’hui, quasiment tous les compléments alimentaires qu’ils soient d’origine naturelle ou certifiés bio sont commercialisés dans des piluliers en plastique issu du pétrole, ressource non renouvelable et dont l’extraction est très polluante. On estime à plus de quatre siècles, le temps nécessaire pour que les matières plastiques se dégradent !
La fabrication du verre, même lorsqu’il est recyclé, est extrêmement énergivore. Aussi, par son poids et son encombrement, son transport nécessite une grande quantité d’énergie...
FACE À CES CONSTATS, NOS LABORATOIRES ONT CHOISI DE S’ENGAGER... DEPUIS 8 ANS DÉJÀ !
NOUS AVONS ÉTÉ LES PREMIERS A PROPOSER UN PILULIER 100% VÉGÉTAL
Nous avons décidé de mettre en pratique l’esprit et la lettre des directives du Grenelle de l’environnement en lançant le premier pilulier zéro pétrole, en plastique végétal PE issu de la canne à sucre, 100 % biodégradable et 100 % recyclable !
POURQUOI LA CANNE A SUCRE ?
Parce que ce type d’emballages en bioplastique, à base de canne à sucre, est 100 % biodégradable et 100 % recyclable. Cela évite de puiser dans les ressources naturelles non renouvelables. Sa production occasionne 75 % d’émissions de CO2 en moins, par rapport à son homologue issu du pétrole.
Il y a aussi des raisons éthique à ce choix : le bilan carbone de ce matériau naturel – et non fossile – est avantageux dès la coupe de la canne à sucre, car il a déjà absorbé du CO2 durant sa croissance, contrairement au pétrole.
Par ailleurs, la culture de la canne à sucre pour ces emballages nouvelle génération, n’entraine pas de privation alimentaire, comme c’est le cas avec les biocarburants. En effet, la canne à sucre ne se substitue pas aux cultures vivrières puisqu’elle pousse souvent dans des champs impropres à d’autres végétaux utilises dans l’agro-alimentaire.
EST-CE QUE CA COUTE CHER ?
Les emballages en bioplastique permettent de ne plus être dépendant des quantités de pétrole produites ni des fluctuations du prix du brut.
Cependant, le coût de revient du pilulier en PE est plus élevé que celui en matière plastique. Toutefois, dans un souci de responsabilité environnementale, les Laboratoires COPMED ont fait le choix de ne pas répercuter cette hausse sur le prix de vente du produit final !
CONCRETEMENT, COMMENT NOS PILULIERS SONT-ILS FABRIQUES ?
Voici les principales étapes :